Jazz Birthday Party
Le Jazz Note Initiative Cameroun organise en partenariat avec O’Botama, la deuxième édition du Jazz Birthday Party, en hommage à Vincent NGUINI.
Le Jazz Note Initiative Cameroun organise en partenariat avec O’Botama, la deuxième édition du Jazz Birthday Party, en hommage à Vincent NGUINI.
Le vendredi 12 avril notre espace culturel vous accueillera pour échanger autour de « Je parle le Bassa 2.0 » et « Je parle l’Afrique 2.0 », deux projets qui ont pour objectif la promotion des langues africaines.
Je parle le Bassa 2.0 (JPLB 2.0) et Je parle l’Afrique 2.0 (JPLA 2.0), ont été créés par Stéphie-Rose Nyot Nyot afin de promouvoir les langues africaines via le digital. JPLB 2.0 lancé en 2013, se focalise sur la langue Bassa du Cameroun et rassemble plus de 13 000 abonnés via Facebook, YouTube, Twitter, Instagram et son application mobile Android. Un abécédaire trilingue Bassa / français / anglais, « Bi banga bi hop Bassa » est également disponible pour les tout-petits et les débutants.
En décembre 2018, Je parle l’Afrique 2.0, en continuité avec JPLB 2.0, a officiellement été lancé en s’ouvrant à d’autres langues comme le wolof, le bambara ou encore le swahili. L’objectif est de préserver cet héritage linguistique au sein de la mondialisation en l’alliant avec le digital.
Chaque 21 mars, la France célèbre sa gastronomie à travers le monde en proposant des dîners à la française, des dîners « Goût de France ». Cette année deux membres de l’équipe de gestion de O’Botama, Raïssa et Patrick, ont été invité à la réception organisée à cet effet, à la résidence de France à Yaoundé. Au menu de ce soir :
– Entrée : une salade de Gambas au Pastis.
– Plats :
· Une daube provençale accompagnée de polenta ;
· Un pavé de capitaine ail et fenouil accompagné d’une ratatouille.
– Dessert : une tarte piémontaise et chocolat.
Il y avait du beau monde à cette soirée : le fabriquant de drones camerounais William ELONG les jumeaux BELIBI, gagnants du prix du Statuppeur de l’année ; mais aussi des entrepreneurs un peu moins connus comme les producteurs du programme PEA-Jeunes ; des responsables d’incubateurs ; et des artistes qui font la fierté du Cameroun comme le chanteur classique Jacques Greg BELOBO et Sanzy Viany, finaliste du prix découverte de RFI.
En l’espace d’une soirée se sont regroupés en un lieu, ceux qui ont décidés d’Oser l’Afrique d’aujourd’hui, chacun à leur manière. Cela a été aussi l’occasion de voir que notre écosystème entrepreneurial ne cesse de grandir et de se diversifier. Le train est en marche.
Sophie est encore à l’école primaire. Elle allume une lampe grâce à une plaque arduino et un ordinateur. Etienne et Jean Marie ont moins de 15 ans et ont déjà créé leur propre jeu vidéo. Oui, c’est impressionnant ; d’autant plus impressionnant que la ministre des postes et télécommunications, Mme Minette Libom Li Likeng a fait le déplacement pour découvrir les activités de Genius Centers, le 07 mars 2019. Sophie, Etienne et Jean Marie, participent aux ateliers Genius Centers
Genius centers est partenaire de O’Botama depuis juillet 2018. Tous les samedis, des enfants de 04 à 17 ans se retrouvent dans nos locaux pour suivre, tout en s’amusant des ateliers de robotique- scratch, de design, de Game engine et de web developement.
En robotique-scratch, les enfants apprennent les bases du métier de développeur. En design, ils font du dessin bien évidement, mais aussi du photomontage, du shooting, et du montage video. Grace à l’atelier game engine, ils créent des jeux video. Enfin, en faisant du web development, ils découvrent les langages de programmation comme le HTML, le CSS…
N’allez pas croire que ces enfants disposent d’aptitudes exceptionnelles ou ont un quotient intellectuel de plus 140. Ce sont des enfants comme les autres.
Chaque enfant est un génie et à Genius Centers, on l’a bien compris.
Si vous voulez avoir plus d’informations sur leurs activités, rendez-vous sur : https://geniuscenters.com/fr/
O’Botama vous invite à l’évènement « Comment bâtir sa stratégie d’entreprise » le samedi 23 mars 2019 de 12h à 16h.
Lancement de la campagne de crowdfunding du projet Ah bon Hein ?! le samedi 28 janvier.
O’Botama vous invite à l’évènement « Réussir son organisation comptable et financière » le samedi 15 décembre à partir de 13h.
O’Botama vous invite à l’Afterwork Entrepreneurs le vendredi 16 novembre de 17h à 19h.
Le Club Awalé et O’Botama vous invitent au Tournoi de Songo de Biyem-Assi qui aura lieu le 28 juillet à O’Botama.
L’édition 2018 des Rencontres d’Art Visuels de Yaoundé aura lieu du 23 au 29 juillet 2018 autour du thème « Urbanitudes ».
La 6e édition de RAVY sera marquée par le sceau des dix ans d’existence de cette plateforme. Et malgré tous les défis qui pointent à l’horizon, elle s’annonce pleine de répercussions. Une édition-anniversaire ! Et pourquoi pas ? Non pas par souci d’une vaine et ronfleuse commémoration, question d’éponger les affres de cette aventure pleine d’embûches, mais pour la seule raison qui légitime notre volonté d’observer un break (pour un regard à la fois rétrospectif et perspectif) après un si long et sinueux parcours. Une aventure ambiguë, comme l’aurait dit Cheik Amidou Kane.
Cette édition entend également s’intéresser à l’histoire de la civilisation humaine – et donc universelle – dans tous ses aspects contemporains et les évolutions qu’elle a connus à travers le temps; les enjeux esthétiques et comportementaux (habitudes de consommation, mode, nutrition, styles et accès au savoir) dans l’espace urbain (à l’ère des réseaux sociaux), les profonds changements ou transformations apportés par l’évolution de la technologie, le choc des cultures, l’épineuse et incontournable question des migrations et leurs corollaires, etc. Au-delà de cette «prescription» curatoriale, cette édition propose de questionner la place de l’art – et par extension, la culture sous toutes ses formes – dans la construction de nouvelles esthétiques et paradigmes urbains. Vision transversale des bouleversements observés dans les sociétés d’aujourd’hui, sociales, philosophiques, ethnologiques, etc. au sein de ce village planétaire où semble désormais patauger le citoyen contemporain universel. A cette occasion, la Biennale souhaite donner la parole aux artistes, mais pas seulement en termes de contributions artistiques, elle s’engage également auprès d’eux, à réinterpréter ce vaste thème de la manière la plus intime et libre qui soit. Dans la manière avec laquelle elle – même entend concevoir, scénographiquement parlant, cette édition-anniversaire.
Urbanitudes aussi et surtout comme une invitation à dire l’Afrique (qui bouge ou qui vient, pour paraphraser Alain Mabanckou et Michel Lebris) dans sa fraîcheur la plus réconfortante et la singularité de sa posture de «conquérante ? » aujourd’hui, vis-à-vis du reste du monde. Car, oui, l’Afrique et ses multiples aspirations – le festival y étant géo-localisé – seront bel et bien au cœur des préoccupations de cette édition. L’Afrique enchantée? Enchanteresse? Utopique? Marginale? Authentique ? Et c’est notre réponse, ou du moins notre modique contribution à cette « renaissance » ou cette reprise en main de son destin. Une Afrique qui (en fin de compte ?) a compris que c’est à elle de s’équiper, comme point-espace dans le vaste système désormais hyper connecté du monde ; de donner du sens à sa trajectoire. De se raconter et de participer à la relecture de celui-ci à partir de son propre point de vue. Le regard africain du monde. Car ce monde est également de plus en plus et comme jamais par le passé, concerné par son destin. C’est aussi à cet appel de l’universel qu’Urbanitudes, en tant que thématique qui questionne les pratiques esthétiques contemporaines, souhaite répondre. En célébrant avec les autres peuples selon le souhait de Senghor, dans une harmonie peut-être pas complètement rééquilibrée, l’impétueux concert des Nations.
Landry Mbassi
Commissaire général
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